Titre: Thirst
Année: 2009
Réalisateur: Chan wook park
Ce film est un film fantastique à cause de plusieurs choses. Premièrement, la teinte de bleu est omniprésente dans le film et une bonne partie des scènes se passent dans la noirceur. c'est un des plus importantes caractéristique du fantastique.
De plus, il y a préscence d'un personnage irréel soit un mort vivant, le vampire. Le vampire est placé dans un univers réel ce qui caractérise le fantastique.
le film thirst est un film d'horreur puisqu'il n'y a pas de suggestion, tout est montré. Par exemple, quand la jeune fille vampire attaque un homme qui sort de son véhicule on voit tout en détail. La couleur du sang est accentué.
mardi 30 octobre 2012
mercredi 24 octobre 2012
Sleepy Hollow
Titre : Sleepy Hollow
Réalisateur : Tim Burton
Année : 1999
Résumé du film : Un policier controversé de New York ( Johnny Depp) se fait donner comme mission d'aller enquêter dans une petite ville nommée Sleepy Hollow où plusieurs meurtres sanglants ont eu lieu. Il se rend compte en arrivant là-bas que la résolution de ces meutres ne sera pas une simple tâche car le meurtrier est en fait un cavalier sans tête qui fait son apparition au beau milieu de la nuit. il tentera tant bien que mal à trouver la vérité sur ces meurtres qui se succèdent et qui paraissent bien étrangement planifiés.
Ce film fait en effet parti du courant Fantastique puisque il met dans un univers réaliste un personnage tout à fait singulier qui sucite de la peur. J'ai pu tout au long de l'écoute trouver quelques caractéristiques typiques du film fantastique.
Premièrement, il y a un personnage typique du fantastique soit le mort vivant qui peu aussi être vu comme un démon. De plus, on trouve aussi dans le film plusieurs sorcières et incantations de sorcières.
Deuxièmement, les lieux sont aussi des lieux typiques de films fantastiques. il y a entre autre le cimetière, la forêt, la grotte mais aussi l'action se passe dans un petit village éloigné ce qui est de plus en plus utilisé dans ce genre de film.
Si on se réfère aussi aux thèmes du film on peu voir un thème récurrent du film fantastique soit le lutte entre le bien et le mal. Puisque Johnny depp qui représente le bien cherche à trouver une solution pour détruire le mal dans ce village tout au lon du film. On peut aussi voir le personnage du cavalier sans tête comme un démon.
Dans les aspects techniques, on retrouve, lors des poursuites du cavalier vers ses victimes, plusieurs plongés et contre-plongés surtout lorsque la victime ne peut plus s'enfuir les plongés sont alors de plus en plus accentuées pour mettre en évidence sa terreur et le fait qu'elle est maintenant piégée. De plus, les teintes de bleu sont omniprésentes dans le film puisque lorsque le chevalier sort il y a un éclair bleu qui transperse le ciel. De plus les évènements plus importants ce passent plus souvent la nuit et la couleur rouge dans tout le film est une couleur qui est très amplifiée et mise de l'avant. Le son avait un rôle important dans le film en effet les sons des sabots et du vent étaient devenus très stressants puisque qu'à ces sons il était clair que quelques chose allait ce produire.
Réalisateur : Tim Burton
Année : 1999
Résumé du film : Un policier controversé de New York ( Johnny Depp) se fait donner comme mission d'aller enquêter dans une petite ville nommée Sleepy Hollow où plusieurs meurtres sanglants ont eu lieu. Il se rend compte en arrivant là-bas que la résolution de ces meutres ne sera pas une simple tâche car le meurtrier est en fait un cavalier sans tête qui fait son apparition au beau milieu de la nuit. il tentera tant bien que mal à trouver la vérité sur ces meurtres qui se succèdent et qui paraissent bien étrangement planifiés.
Ce film fait en effet parti du courant Fantastique puisque il met dans un univers réaliste un personnage tout à fait singulier qui sucite de la peur. J'ai pu tout au long de l'écoute trouver quelques caractéristiques typiques du film fantastique.
Premièrement, il y a un personnage typique du fantastique soit le mort vivant qui peu aussi être vu comme un démon. De plus, on trouve aussi dans le film plusieurs sorcières et incantations de sorcières.
Deuxièmement, les lieux sont aussi des lieux typiques de films fantastiques. il y a entre autre le cimetière, la forêt, la grotte mais aussi l'action se passe dans un petit village éloigné ce qui est de plus en plus utilisé dans ce genre de film.
Si on se réfère aussi aux thèmes du film on peu voir un thème récurrent du film fantastique soit le lutte entre le bien et le mal. Puisque Johnny depp qui représente le bien cherche à trouver une solution pour détruire le mal dans ce village tout au lon du film. On peut aussi voir le personnage du cavalier sans tête comme un démon.
Dans les aspects techniques, on retrouve, lors des poursuites du cavalier vers ses victimes, plusieurs plongés et contre-plongés surtout lorsque la victime ne peut plus s'enfuir les plongés sont alors de plus en plus accentuées pour mettre en évidence sa terreur et le fait qu'elle est maintenant piégée. De plus, les teintes de bleu sont omniprésentes dans le film puisque lorsque le chevalier sort il y a un éclair bleu qui transperse le ciel. De plus les évènements plus importants ce passent plus souvent la nuit et la couleur rouge dans tout le film est une couleur qui est très amplifiée et mise de l'avant. Le son avait un rôle important dans le film en effet les sons des sabots et du vent étaient devenus très stressants puisque qu'à ces sons il était clair que quelques chose allait ce produire.
Critique: N'étant pas du tout une fan de ce genre cinématographique, j'ai tout de même bien apprécié ce film. Je dois par contre avouer que certains passages peuvent rester longtemps en mémoire puisqu'ils sont marquant et troublant à la fois. c'est un film très bien réaliser qui nous garde sur le qui-vive avec sa trame sonore inquiétante. Étant un grande amatrice de Tim Burton je ne fut aucunement déçu de ce film qui était complet pour un film de genre «horreur». Il faut aussi avouer que l'intrigue est particulièrement intéressante et il est presque impossible de deviné le «punch» final. De plus, l'acting de Johnny Depp est tout à fait splendide comme à son habitude. Son personnage tout à fait excentrique attire particulièrement l'attention de spectateur car il est a la fois trouillard et courageux. La collaboration de Johnny Depp et Tim Burton est selon moi toujours gagnante.
mercredi 17 octobre 2012
Les 400 Coups
Titre: les 400 Coups
Réalisateur: François Truffaut
Année: 1959
Résumé: On suit tout au long du film l'histoire d'Antoine Doinel un jeune garçon qui n'a pas été gâté par la vie et qui est tout à fait rebel. sa mère ne l'aime pas et son beau père est futile. On le suit dans toutes ses petites et ses grandes bétises. Antoine devient un fervent amateur de Honoré de Balzac et lors d'un composition de français il copie un de ses textes ce qui lui vaut un renvoi de son école primaire. Antoine ment aussi à son professeur en disant que sa mère est morte. plusieurs autre petites histoire à l'intérieur d'un grand film qui vaut la peine d'être vu.
Critique: Un film tout à fait attachant et brillament réalisé par François Truffaut. L'histoire n'est pas très longue et je dois avouer qu'après ce court film de 99 min j'en voulais encore. La trame sonore qui est souvent sur les même note mais toujours utilisée d'une différente façon me rappelait étrangement celle du Parrain de Coppola, trame sonore culte du cinéma. Le jeu du jeune Jean-Pierre Léaud est tout à fait crédible et bien fait. Bref, Truffaut méritait en effet toutes les grandes honneurs avec ce film magnifique.
Réalisateur: François Truffaut
Année: 1959
Résumé: On suit tout au long du film l'histoire d'Antoine Doinel un jeune garçon qui n'a pas été gâté par la vie et qui est tout à fait rebel. sa mère ne l'aime pas et son beau père est futile. On le suit dans toutes ses petites et ses grandes bétises. Antoine devient un fervent amateur de Honoré de Balzac et lors d'un composition de français il copie un de ses textes ce qui lui vaut un renvoi de son école primaire. Antoine ment aussi à son professeur en disant que sa mère est morte. plusieurs autre petites histoire à l'intérieur d'un grand film qui vaut la peine d'être vu.
Critique: Un film tout à fait attachant et brillament réalisé par François Truffaut. L'histoire n'est pas très longue et je dois avouer qu'après ce court film de 99 min j'en voulais encore. La trame sonore qui est souvent sur les même note mais toujours utilisée d'une différente façon me rappelait étrangement celle du Parrain de Coppola, trame sonore culte du cinéma. Le jeu du jeune Jean-Pierre Léaud est tout à fait crédible et bien fait. Bref, Truffaut méritait en effet toutes les grandes honneurs avec ce film magnifique.
jeudi 11 octobre 2012
Frankenweenie
Réalisateur: Tim Burton
Année: 2012
Résumé : Le jeune Victor qui vit en Nouvelle-Hollande a
pour seul ami son chien Sparky. Suite a une annonce fait par le chat d’une
camarade, monsieur moustache, Sparky ce fait violemment frapper par une voiture.
Victor suite à un cours de science, décide de faire revivre son bon compagnon. Cette expérience est alors un succès mais tous
les autres enfants de sa classe veulent faire de même pour avoir le meilleur
projet pour le concours de sciences.
Critique : J’ai bien apprécié le plus récent film du
réalisateur Tim Burton et sa chevelure de feu. En effet, c’est une histoire
bien attachante et très bien construite que nous présente le réalisateur d’Edward
aux mains d’argent. Ce qui est très intéressant dans le film, c’est l’utilisation
du noir et blanc qui est à mon sens très pertinent au contraire de l’effet de
3D. Selon certaine critique la deuxième partie de l’histoire est impertinente
mais à mon sens c’est une partie qui est
très bien construite et qui a été minutieusement travaillée. En effet, les
nombreux clins d’œil du réalisateur sur des films d’horreur cultes sont un
élément qui rajoute énormément au film, même s’il est incompris par les plus
jeunes. Les personnages sont bien
travaillés et font tous aussi peur les uns que les autres avec leurs
caractéristiques physiques toutes aussi saugrenues et exagérées. Un personnage
tout à fait attachant dans le film est indéniablement monsieur moustache un
chat qui peut prédire de grands évènements avec ses déjections. Bref, un film
bien fignoler qui peut même nous soutirer quelques larmes.
dimanche 7 octobre 2012
Les Oiseaux
Titre: Les oiseaux
Réalisateur: Alfred Hitchcock
Année : 1963
Résumé : Mélanie, Une jeune femme de San Francisco rencontre un homme, Mitch, dans une animalerie. il lui dit alors qu’il veut des inséparables. Mélanie trouvant ce jeune homme bien attirant décide d’aller porter chez lui les inséparables mais elle apprend qu’il est parti toute la fin de semaine à Bodega Bay. Elle décide d’y aller. En revenant d’aller lui porter les inséparables en bateau, Mélanie se fait attaquer par une mouette. C’est le tout début d’une série d’attaque préparé par les oiseaux de la Bay. Une histoire d’amour s’installe entre Mitch et Mélanie mais celle-ci sera troubler par les attaques meurtrières des oiseaux qui s’en prennent même aux enfants. Un suspense qui nous tient en haleine du début jusqu’à la fin.
5 éléments du langage cinématographique :
Champ Contre Champ : Lorsque Mélanie et Mitch sont en haut de la colline de sable pendant la fête de Cathy, ils parlent et on voit alors un bon échange de champ contre champ.
Vue en plongée : Lorsque la mère de Mitch est dans son lit et Mélanie lui apporte du thé, elle commence à parler qu’elle n’Est pas une femme forte et pour montrer cette vulnérabilité la caméra est placé en plongé sur le personnage.
McGuffin : Au tout début du récit Mélanie achète des inséparables et on pense alors à ce moment que l’histoire tournera autour de ses deux inséparables puisque le film s’appelle les oiseaux mais les inséparables ne sont qu’un prétexte.
L’utilisation de l’escalier : comme j’ai pu lire dans les articles sur Hitchcock, il utilise souvent les escaliers pour installer une émotion dans ses films. Cet effet est certainement utiliser dans les oiseaux. En effet, lorsque Mélanie entend un bruit d’aile dans la maison elle se rend compte que c’Est en haut et elle doit monter les escaliers, on monte la tension d’un cran tout au long de l’ascension.
Le voyage : Durant le film on se déplace beaucoup et ce déplacement à pour but de montrer que les femmes peuvent elles aussi conduite et avoir un rôle de contrôle dans le film. On peut imager cette scène entre autre lorsque Mélanie se rend chez Mitch par bateau ou c’est elle seule qui conduit le bateau. C’est une idée tout à fait moderne pour le temps qu’Hitchcock essai d’incorporer à ses œuvres.
Cameo : Hitchcock fait dans ce film son célèbre cameo au tout début du film lorsque Mélanie entre dans l’animalerie il en sort avec ses deux chiens, qui sont réellement les siens, qu’il affectionne particulièrement.
Critique : je n’ai pas détesté le film Les oiseaux d’Alfred Hitchcock. En effet, je pense avoir apprécié tout le film sauf la fin. Je trouve qu’on reste un peu sur notre faim et que le punch que l’on attendait n’est pas nécessairement venu. Bref pour le reste je dois avouer que le film en tant que tel était un réel chef d’œuvre. En premier lieu, la trame sonore était troublante et poignante à la fois. Le bruit des oiseaux qui devient omniprésent dans le film devient un élément de peur et est utilisé au bon moment. La trame sonore qui n'est seulement que des bruits d'oiseaux est un très bon ajout pour nous suspendre d’avantage au film. Aussi, Hitchcock à réaliser un travail de maitre dans la façon de filmer son film. On peut comparer plusieurs scènes du film à la mythique scène de la douche puisque la vitesse des changements de plan pour faire monter la tension est utilisée de la même façon. Tous les éléments pour créer un bon suspense sont présents dans ce film qui est impeccable dans sa réalisation. Les décors et l’utilisation des oiseaux n’étaient pas non plus un élément facile à gérer, c’est pourquoi le yellow screen était de mise et celui-ci a été utilisé de manière brillante puisque le blue screen comportait quelques inconvénients qui auraient nui à la qualité du film. Bref un film d’une qualité cinématographique remarquable qui mérite sans contredit sa cote de chef d’œuvre.
Réalisateur: Alfred Hitchcock
Année : 1963
Résumé : Mélanie, Une jeune femme de San Francisco rencontre un homme, Mitch, dans une animalerie. il lui dit alors qu’il veut des inséparables. Mélanie trouvant ce jeune homme bien attirant décide d’aller porter chez lui les inséparables mais elle apprend qu’il est parti toute la fin de semaine à Bodega Bay. Elle décide d’y aller. En revenant d’aller lui porter les inséparables en bateau, Mélanie se fait attaquer par une mouette. C’est le tout début d’une série d’attaque préparé par les oiseaux de la Bay. Une histoire d’amour s’installe entre Mitch et Mélanie mais celle-ci sera troubler par les attaques meurtrières des oiseaux qui s’en prennent même aux enfants. Un suspense qui nous tient en haleine du début jusqu’à la fin.
5 éléments du langage cinématographique :
Champ Contre Champ : Lorsque Mélanie et Mitch sont en haut de la colline de sable pendant la fête de Cathy, ils parlent et on voit alors un bon échange de champ contre champ.
Vue en plongée : Lorsque la mère de Mitch est dans son lit et Mélanie lui apporte du thé, elle commence à parler qu’elle n’Est pas une femme forte et pour montrer cette vulnérabilité la caméra est placé en plongé sur le personnage.
McGuffin : Au tout début du récit Mélanie achète des inséparables et on pense alors à ce moment que l’histoire tournera autour de ses deux inséparables puisque le film s’appelle les oiseaux mais les inséparables ne sont qu’un prétexte.
L’utilisation de l’escalier : comme j’ai pu lire dans les articles sur Hitchcock, il utilise souvent les escaliers pour installer une émotion dans ses films. Cet effet est certainement utiliser dans les oiseaux. En effet, lorsque Mélanie entend un bruit d’aile dans la maison elle se rend compte que c’Est en haut et elle doit monter les escaliers, on monte la tension d’un cran tout au long de l’ascension.
Le voyage : Durant le film on se déplace beaucoup et ce déplacement à pour but de montrer que les femmes peuvent elles aussi conduite et avoir un rôle de contrôle dans le film. On peut imager cette scène entre autre lorsque Mélanie se rend chez Mitch par bateau ou c’est elle seule qui conduit le bateau. C’est une idée tout à fait moderne pour le temps qu’Hitchcock essai d’incorporer à ses œuvres.
Cameo : Hitchcock fait dans ce film son célèbre cameo au tout début du film lorsque Mélanie entre dans l’animalerie il en sort avec ses deux chiens, qui sont réellement les siens, qu’il affectionne particulièrement.
Critique : je n’ai pas détesté le film Les oiseaux d’Alfred Hitchcock. En effet, je pense avoir apprécié tout le film sauf la fin. Je trouve qu’on reste un peu sur notre faim et que le punch que l’on attendait n’est pas nécessairement venu. Bref pour le reste je dois avouer que le film en tant que tel était un réel chef d’œuvre. En premier lieu, la trame sonore était troublante et poignante à la fois. Le bruit des oiseaux qui devient omniprésent dans le film devient un élément de peur et est utilisé au bon moment. La trame sonore qui n'est seulement que des bruits d'oiseaux est un très bon ajout pour nous suspendre d’avantage au film. Aussi, Hitchcock à réaliser un travail de maitre dans la façon de filmer son film. On peut comparer plusieurs scènes du film à la mythique scène de la douche puisque la vitesse des changements de plan pour faire monter la tension est utilisée de la même façon. Tous les éléments pour créer un bon suspense sont présents dans ce film qui est impeccable dans sa réalisation. Les décors et l’utilisation des oiseaux n’étaient pas non plus un élément facile à gérer, c’est pourquoi le yellow screen était de mise et celui-ci a été utilisé de manière brillante puisque le blue screen comportait quelques inconvénients qui auraient nui à la qualité du film. Bref un film d’une qualité cinématographique remarquable qui mérite sans contredit sa cote de chef d’œuvre.
Inscription à :
Articles (Atom)