dimanche 2 décembre 2012

La trilogie du seigneur des anneaux

Puisque je ne pourrai pas faire de publication sur le prochain film en rapport avec le seigneur des anneaux soit Bilbo le Hobbit, j'ai décidé de faire une publication sur le film qui m'a réellement fait aimé et découvrir le cinéma. Ayant toujours été une grande fan de la trilogie au grand complet, il est parfois difficile pour les amateurs comme moi de trouver le meilleur des 3. Voici mon opinion sur le sujet.

À mon avis, le premier film de la trilogie est le meilleur. Lorsqu'il fit sont entrée ce fut une révélation, une surprise que de voir une si bonne adaptation du livre de Tolkien qui semblait à première vue irréalisable. De plus, puisque c'est le tout début, il faut mettre en place l'histoire et je trouve que dans ce film c'est magnifiquement fait, on comprend bien l'univers dans toute sa complexité. Je pense aussi que j'aime le premier parce qu'il est moins sombre que les deux autres films, on voit beaucoup la compté, un endroit paisible, chaleureux et enchanteur. Les paysages sont à coupé le souffle et les personnages sont plus attachant que jamais. Le premier film est pour moi le début d'une passion pour le cinéma  The return of the king et the fellowship of the ring sont pour une majorité d'adeptes les 2 meileurs films de la trilogie. The two towers était aussi un très bon film mais il est noter par la majorité des gens comme le moins réussi des trois entre autre parce qu'il est le plus sombre des trois mais aussi celui qui a une developpement un peu plus lent et moins envoutant malgré ses nombreuses batailles.

Bref, la trilogy du seigneur des anneaux est sans contredit un véritable chef d'oeuvre. J'espère de tout coeur que les prochains films qui seront dirigés par Peter Jackson, entre autre l'attendue trilogie de Bilbo le Hobbit, seront à la hauteur de mes attentes.

vendredi 30 novembre 2012

Argo

Titre : Argo
Année: 2012
Réalisateur: Ben Affleck


Critique: La film Argo est selon moi un des meilleurs film de l'année. En effet, Ben Affleck a su faire un travail de maitre dans ce film. Tout est bien placé au bon moment. Le début est très pertinent, il permet de nous renseigner mieux sur la situation de l'époque puisqu'il peut être compliquer de tout comprendre ce conflit. La ressemblance avec la réalité est étonnante à la fin on voit les acteurs à côter des réels personnes et ça m,'a impressionné de voir à quel point la ressamblance était frappante. Le film est à développement lent mais nous tient tout de même en haleine du début à la fin. Je dois avouer avoir eu une certaine réticence à alors voir le film au début puisque je ne voulais pas écouter un film lourd à cause des notions politiques présentes dans le film. Finalement, Le réalisateur à su bien équilibrer le film pour ne pas l'allourdir et le garder bien intéressant du début à la fin. J'ai adoré ce film qui a mon sens mérite à tout de moins un nomination aux oscars.

mercredi 28 novembre 2012

Là-Haut

Titre : Là Haut
Année: 2009
Réalisateur: Peter Docter

Résumé: Carl devenu maintenant un veillard cherche à accomplir le rêve de son grand amour et son rêve à lui aussi soit le rêve d'aller aux chutes du paradis. Il s'envolera alors vers sa destination dans sa maison qu'il à bâtit de toute pièce avec sa défunte épouse. il se servira de ballon comme d'une mongolfière. Malgré lui, il sera accompagné par un jeune scout nommé Russel qui se trouvait par hasard sur son balcon lors du décollage. Ils affronteront ensemble mille et une épreuves toutes aussi déstabilisantes les unes que les autres. il feront aussi la rencontre de personnes saugrenus et amusants.

Critique: Le film là-haut est pour moi le meilleur film d'animation que j'ai vu à présent. Pixar utilise encore une fois à merveille à la fois l'émotion et l'humour pour rendre un film fantastique. Les couleurs du film sont belles et utilisées de manière fantastique. j'ai tout aimé de ce film qui nous livre surtout des personnages attachants, autant les personnages secondaire que principal. Ce film amène selon moi un forte réfléxion sur l'importance que l'on accorde à nos promesses et si celles-ci doivent être tenues. Le message du film qui est souvent mieux compris par les adulte est magnifique. Je fut énormément touché par ce film qui est à mon sens un film qu'il faut voir à tous prix avec un personne qui nous est chère. La scène que j'ai décidé de mettre est un des scène favorite de plusieurs cinéphiles en ce qui a trait au cinéma d'animation pour les plus jeunes. c'est le début du film où l'on voit l'histoire d'amour entre Éllie et Carl. J'espère que vous apprécirez.

Valse avec Bachir

Titre: Valse avec bachir
Année : 2008
Réalisateur: Ari Folman

Critique: La valse avec Bachir est à mon avis un film qu'il faut voir à tous prix dans sa vie. Ce film qui est certe par rapport à la guerre au liban est montrer d'un oeil tout à fait différent de celui qu'on utilise à l'habitude pour montrer la guerre. En effet, Ari Folman met davantage l'accent sur la vision des jeunes gens enrôlés dans l'armée qui ne sont pas au courant de ce qui les attends et qui ne sont surtout pas en mesure de réagir au situation de crise. Le film montre bien aussi les répercussions qui peut avoir la guerre sur la vie des gens qui subissent ces atrocités. Le dessin animé sert à mon avis à atténuer les images montrées par Ari Folman qui serait dans une autre contexte plus difficile à supporter ce qui changerait du tout au tout la vision que l'on peut avoir du film et aussi la manière que l'on regarde l'oeuvre.Bref, c'est un film saisissant qui fait beaucoup réfléchir.

Éléments:
Les deux éléments du languages cinématographiques qui m'ont le plus parlé sont les suivants:

Les très gros plan sur l'oeil du cheval était un moment très fort du film puisque la souffrance des chevaux qui était montrée était très difficile à supporter et cela finit sur le très gros plan de l'oeil d'un cheval mort entouré de mouches

La vue subjective par laquelle on voit à travers des lunette de vue et que l'on voit plusieurs gens se faire fusiller et tuer lors des massacres est très importante et très troublante à la fois.

La scène la plus marquante pour moi est sans contredit celle où les vraies images font leurs apparissions à la fin du film. Cette scène est si poignante et dérangeante puisque que l'on se rend soudainement compte que ce n'est pas de la fiction et que tout ce massacre c'est réellement déroulé. 

mardi 13 novembre 2012

Kiss Kiss Bang Bang




Titre: kiss kiss bang bang
Année: 2005
Réalisateur: Shane Black






Critique:

Le film kiss kiss bang bang est, selon moi, un film très complet. Il comporte toutes une gamme d'émotions différentes qui nous plonge d'avantage dans le récit ce qui selon moi n'est pas du tout apporté dans toutes les oeuvres cinématographiques. L'action est très bien amenée et se suit très bien. j'ai particulièrement apprécier le début du film qui était un suite d'événements très intéressant. Ce film qui a su remettre Robert Downey Jr. sur la carte est selon moi un de ses meilleurs film. Je trouve son jeu dans ce film tout à fait juste et fascinant. Il incarne à la perfection son personnage dans lequel on peut parfois le reconnaitre en soi. On ne voit en aucun cas venir le punch final et l'intrigue nous captive tout au long du film. Bref. tous les éléments d'un bon film sont présents dans cette oeuvre dirigée d'une main de maître. Chapeau!

mercredi 7 novembre 2012

Sin City

Titre: Sin City
Année: 2005
réalisateurs: Frank Miller et Robert Rodriguez


Résumé:  Trois histoire sont présentes dans le film et celles-ci se croisent et s'entre croisent puisqu'elle se passe toutes dans la même ville. L'action se déroule à Basin city surnommé Sin city puisque c'est la ville du vice et du pêché. Les trois histoire mettent en vedette trois hommes, Marv un colosse tout juste sorti de prison,  Dwight un homme avec un passé troublant et John Hartigan le seul policier intègre de la ville. On suit des histoire de viols de meurtres et de torture qui se dérouleront dans une ambiance sombre. Tout dépendant de l'histoire qui est mise de l'avant une couleur est présente dans l.histoire puisque le film est en noir et blanc.


Critique: Sin City est selon moi un film brillant mais n'est pas pour tout le monde. la violence dans Sin City est omniprésente mais pas exagérée. Elle a sa place et n'est pas de trop. jai adorer l'effet de noir et blanc dans le film teinté de certaines couleurs ce qui donne un effet tout à fait interessant au film. Le film Sin city est une adaptation très réussite d'une bande dessisnée et je dois avouer que je me suis bien senti à l'intérieur d'une bande dessinée lors de l'écoute de ce film. En effet, les personnage étaient présenté comme normal mais était comme des personnage de bd un peu plus fort que nature. aussi toutes les cascade étaient amplifiée ce qui donnait d'autant plus le look bande-dessiné. J'ai adorer les acteurs choisis pour faire le film. Selon moi, Bruce willis se démarque dans ce film puisqu'il incarne sans fausse note le personnage de John Hartigan. J'ai adoré ce film même si je ne suis pas une grande fan de violence et de torture mais puisque celle-ci était justifiée et bien amenée, il m'a été facile de regarder ce film.

Caractéristiques du film noir:

le film est en constant clai obscur, on utilise aussi souvent des ombre dans le film comme dans l'impressionisme allemand. Par exemple lorsque Bruce Willis vient attaquer deux crapule qui surveille un automobile on voit seulement sombre qui approche avec un bout de métal.

Les principaux thème du film noir sont présent dans le film soient:
- Le crime: La ville est tout simplement un endroit de crime et de vice, les crimes sont des actes de tous les jours commis par la plupart des personnages
- La ville ( la ville de Basin City)
- La nuit: le film se déroule seulement le nuit pour ajouter encore plus de ténèbres au film
- La cupidité : le personnage de kevin qui mange des femmes et qui en veut toujours plus et n'est jamais rassasier est selon moi un bon exemple de cupidité parmis tant d'autres.
- L'érotisme: Les femme se promène en tenue légère et sont pour la plupart  des prostituées, il va alors de soi que toutes les femmes deviennent comme ça.
- L'apparition du sadisme: John Hartigan retire 2 fois l'arme la plus précieuse de l'agresseur soit ses parties génitale et la deuxième fois d'un manière tout à fait sadique et sans scrupule.

Les personnages:

La femme fatale: toutes les femmes du film sont des femmes fatales. On peut en particulier prendre shellie qui est une prostituée qui veut défendre avec ses amies son quartier de Basin city.

le flic : John Hartigan en est un bon exemple. C'est le seul flic non-corrompu de la ville.

Le flic corrompu: l'homme qui est dans l'histoire de Dwight est un flic corrompu et c'est contre lui que vont se battre les prostituées

Celui qui cherche la véritée : Marv en est un bon exemple puisqu'il essai de  trouver qui a tuer sa Goldie. Il est prêt à tout faire pour la vengée
Le traqué: Nancy est traquée par son ancien agresseur et l'agresseur traque en même temps le sauveur de Nancy, John Hartigan. Dwight est indirectement traqué par les policier qui cherche le corps de leur ami, on assiste dans cette scène à une course folle du premier qui réussira à trouver le corps ou à le cacher.

Angle de caméra :

Le contre plongé : Lorsque Hartigan se fait tirer dessus quand il se relève on le voit dans une contre plongée très prononcée qui montre la volonté et la force mentale du personnage.

il n'y a pas de Dutch angle dans Sin City.

La voix off est un élément important sans le film. la narration se passe entre les personnages principaux de chaque histoire. c'est omniprésent dans le film donc occupe un grand rôle.

Les intrigues complexes:

le film est en lui même très complexe. En effet, puisque 3 histoires se croisent il peut parfois être complexe de suivre.

Les dialogue cynique et expéditif est là du début à la fin rien est dit avec atténuation. On parle ici des pensées du personnages au dialogue avec les autres, il n'y a aucun filtre dans ce qu'il est dit.


mardi 30 octobre 2012

Thirst

Titre: Thirst
Année: 2009
Réalisateur: Chan wook park

Ce film est un film fantastique à cause de plusieurs choses. Premièrement, la teinte de bleu est omniprésente dans le film et une bonne partie des scènes se passent dans la noirceur. c'est un des plus importantes caractéristique du fantastique.

De plus, il y a préscence d'un personnage irréel soit un mort vivant, le vampire.  Le vampire est placé dans un univers réel ce qui caractérise le fantastique.

le film thirst est un film d'horreur puisqu'il n'y a pas de suggestion, tout est montré. Par exemple, quand la jeune fille vampire attaque un homme qui sort de son véhicule on voit tout en détail. La couleur du sang est accentué.

mercredi 24 octobre 2012

Sleepy Hollow

Titre : Sleepy Hollow
Réalisateur : Tim Burton
Année : 1999

Résumé du film : Un policier controversé de New York ( Johnny Depp) se fait donner comme mission d'aller enquêter dans une petite ville nommée Sleepy Hollow où plusieurs meurtres sanglants ont eu lieu. Il se rend compte en arrivant là-bas que la résolution de ces meutres ne sera pas une simple tâche car le meurtrier est en fait un cavalier sans tête qui fait son apparition au beau milieu de la nuit. il tentera tant bien que mal à trouver la vérité sur ces meurtres qui se succèdent et qui paraissent bien étrangement planifiés.

Ce film fait en effet parti du courant Fantastique puisque il met dans un univers réaliste un personnage tout à fait singulier qui sucite de la peur. J'ai pu tout au long de l'écoute trouver quelques caractéristiques typiques du film fantastique.
Premièrement, il y a un personnage typique du fantastique soit le mort vivant qui peu aussi être vu comme un démon. De plus, on trouve aussi dans le film plusieurs sorcières et incantations de sorcières.

Deuxièmement, les lieux sont aussi des lieux typiques de films fantastiques. il y a entre autre le cimetière, la forêt, la grotte mais aussi l'action se passe dans un petit village éloigné ce qui est de plus en plus utilisé dans ce genre de film.

Si on se réfère aussi aux thèmes du film on peu voir un thème récurrent du film fantastique soit le lutte entre le bien et le mal. Puisque Johnny depp qui représente le bien cherche à trouver une solution pour détruire le mal dans ce village tout au lon du film. On peut aussi voir le personnage du cavalier sans tête comme un démon.

Dans les aspects techniques, on retrouve, lors des poursuites du cavalier vers ses victimes, plusieurs plongés et contre-plongés surtout lorsque la victime ne peut plus s'enfuir les plongés sont alors de plus en plus accentuées pour mettre en évidence sa terreur et le fait qu'elle est maintenant piégée. De plus, les teintes de bleu sont omniprésentes dans le film puisque lorsque le chevalier sort il y a un éclair bleu qui transperse le ciel. De plus les évènements plus importants ce passent plus souvent la nuit et la couleur rouge dans tout le film est une couleur qui est très amplifiée et mise de l'avant. Le son avait un rôle important dans le film en effet les sons des sabots et du vent étaient devenus très stressants puisque qu'à ces sons il était clair que quelques chose allait ce produire.


Critique: N'étant pas du tout une fan de ce genre cinématographique, j'ai tout de même bien apprécié ce film. Je dois par contre avouer que certains passages peuvent rester longtemps en mémoire puisqu'ils sont marquant et troublant à la fois. c'est un film très bien réaliser qui nous garde sur le qui-vive avec sa trame sonore inquiétante. Étant un grande amatrice de Tim Burton je ne fut aucunement déçu de ce film qui était complet pour un film de genre «horreur». Il faut aussi avouer que l'intrigue est particulièrement intéressante et il est presque impossible de deviné le «punch» final. De plus, l'acting de Johnny Depp est tout à fait splendide comme à son habitude. Son personnage tout à fait excentrique attire particulièrement l'attention de spectateur car il est a la fois trouillard et courageux. La collaboration de Johnny Depp et Tim Burton est selon moi toujours gagnante.

mercredi 17 octobre 2012

Les 400 Coups

Titre: les 400 Coups
Réalisateur: François Truffaut
Année: 1959

Résumé: On suit tout au long du film l'histoire d'Antoine Doinel un jeune garçon qui n'a pas été gâté par la vie et qui est tout à fait rebel. sa mère ne l'aime pas et son beau père est futile. On le suit dans toutes ses petites et ses grandes bétises. Antoine devient un fervent amateur de Honoré de Balzac et lors d'un composition de français il copie un de ses textes ce qui lui vaut un renvoi de son école primaire. Antoine ment aussi à son professeur en disant que sa mère est morte. plusieurs autre petites histoire à l'intérieur d'un grand film qui vaut la peine d'être vu.

Critique: Un film tout à fait attachant et brillament réalisé par François Truffaut. L'histoire n'est pas très longue et je dois avouer qu'après ce court film de 99 min j'en voulais encore. La trame sonore qui est souvent sur les même note mais toujours utilisée d'une différente façon me rappelait étrangement celle du Parrain de Coppola, trame sonore culte du cinéma. Le jeu du jeune Jean-Pierre Léaud est tout à fait crédible et bien fait. Bref, Truffaut méritait en effet toutes les grandes honneurs avec ce film magnifique.

jeudi 11 octobre 2012

Frankenweenie


Titre :Frankenweenie

Réalisateur: Tim Burton

Année: 2012

Résumé : Le jeune Victor qui vit en Nouvelle-Hollande a pour seul ami son chien Sparky. Suite a une annonce fait par le chat d’une camarade, monsieur moustache, Sparky ce fait violemment frapper par une voiture. Victor suite à un cours de science, décide de faire revivre son bon compagnon.  Cette expérience est alors un succès mais tous les autres enfants de sa classe veulent faire de même pour avoir le meilleur projet pour le concours de sciences.

Critique : J’ai bien apprécié le plus récent film du réalisateur Tim Burton et sa chevelure de feu. En effet, c’est une histoire bien attachante et très bien construite que nous présente le réalisateur d’Edward aux mains d’argent. Ce qui est très intéressant dans le film, c’est l’utilisation du noir et blanc qui est à mon sens très pertinent au contraire de l’effet de 3D. Selon certaine critique la deuxième partie de l’histoire est impertinente mais à mon sens c’est  une partie qui est très bien construite et qui a été minutieusement travaillée. En effet, les nombreux clins d’œil du réalisateur sur des films d’horreur cultes sont un élément qui rajoute énormément au film, même s’il est incompris par les plus jeunes.  Les personnages sont bien travaillés et font tous aussi peur les uns que les autres avec leurs caractéristiques physiques toutes aussi saugrenues et exagérées. Un personnage tout à fait attachant dans le film est indéniablement monsieur moustache un chat qui peut prédire de grands évènements avec ses déjections. Bref, un film bien fignoler qui peut même nous soutirer quelques larmes.

dimanche 7 octobre 2012

Les Oiseaux

Titre: Les oiseaux
Réalisateur: Alfred Hitchcock

Année : 1963

Résumé : Mélanie, Une jeune femme de San Francisco rencontre un homme, Mitch, dans une animalerie. il lui dit alors qu’il veut des inséparables. Mélanie trouvant ce jeune homme bien attirant décide d’aller porter chez lui les inséparables mais elle apprend qu’il est parti toute la fin de semaine à Bodega Bay. Elle décide d’y aller. En revenant d’aller lui porter les inséparables en bateau, Mélanie se fait attaquer par une mouette. C’est le tout début d’une série d’attaque préparé par les oiseaux de la Bay. Une histoire d’amour s’installe entre Mitch et Mélanie mais celle-ci sera troubler par les attaques meurtrières des oiseaux qui s’en prennent même aux enfants. Un suspense qui nous tient en haleine du début jusqu’à la fin.

5 éléments du langage cinématographique :

Champ Contre Champ : Lorsque Mélanie et Mitch sont en haut de la colline de sable pendant la fête de Cathy, ils parlent et on voit alors un bon échange de champ contre champ.

Vue en plongée : Lorsque la mère de Mitch est dans son lit et Mélanie lui apporte du thé, elle commence à parler qu’elle n’Est pas une femme forte et pour montrer cette vulnérabilité la caméra est placé en plongé sur le personnage.

McGuffin : Au tout début du récit Mélanie achète des inséparables et on pense alors à ce moment que l’histoire tournera autour de ses deux inséparables puisque le film s’appelle les oiseaux mais les inséparables ne sont qu’un prétexte.

L’utilisation de l’escalier : comme j’ai pu lire dans les articles sur Hitchcock, il utilise souvent les escaliers pour installer une émotion dans ses films. Cet effet est certainement utiliser dans les oiseaux. En effet, lorsque Mélanie entend un bruit d’aile dans la maison elle se rend compte que c’Est en haut et elle doit monter les escaliers, on monte la tension d’un cran tout au long de l’ascension.

Le voyage : Durant le film on se déplace beaucoup et ce déplacement à pour but de montrer que les femmes peuvent elles aussi conduite et avoir un rôle de contrôle dans le film. On peut imager cette scène entre autre lorsque Mélanie se rend chez Mitch par bateau ou c’est elle seule qui conduit le bateau. C’est une idée tout à fait moderne pour le temps qu’Hitchcock essai d’incorporer à ses œuvres.

Cameo : Hitchcock fait dans ce film son célèbre cameo au tout début du film lorsque Mélanie entre dans l’animalerie il en sort avec ses deux chiens, qui sont réellement les siens, qu’il affectionne particulièrement.

Critique : je n’ai pas détesté le film Les oiseaux d’Alfred Hitchcock. En effet, je pense avoir apprécié tout le film sauf la fin. Je trouve qu’on reste un peu sur notre faim et que le punch que l’on attendait n’est pas nécessairement venu. Bref pour le reste je dois avouer que le film en tant que tel était un réel chef d’œuvre. En premier lieu, la trame sonore était troublante et poignante à la fois. Le bruit des oiseaux qui devient omniprésent dans le film devient un élément de peur et est utilisé au bon moment. La trame sonore qui n'est seulement que des bruits d'oiseaux est un très bon ajout pour nous suspendre d’avantage au film. Aussi, Hitchcock à réaliser un travail de maitre dans la façon de filmer son film. On peut comparer plusieurs scènes du film à la mythique scène de la douche puisque la vitesse des changements de plan pour faire monter la tension est utilisée de la même façon. Tous les éléments pour créer un bon suspense sont présents dans ce film qui est impeccable dans sa réalisation. Les décors et l’utilisation des oiseaux n’étaient pas non plus un élément facile à gérer, c’est pourquoi le yellow screen était de mise et celui-ci a été utilisé de manière brillante puisque le blue screen comportait quelques inconvénients qui auraient nui à la qualité du film. Bref un film d’une qualité cinématographique remarquable qui mérite sans contredit sa cote de chef d’œuvre.

mercredi 26 septembre 2012

le Parrain


Titre : Le Parrain

Réalisateur : Francis Ford Coppola

Année de publication : 1972

Résumé: C’est l’histoire d’une famille de la Sicile qui vie à New York. C’est évidemment la famille du parrain, Don Vito Corleone (Marlon Brando). Au tout début de l’histoire, le Parain se fait tiré plusieurs balles, mais il survit. C’est un peu l’histoire de la succession du parrain puisque pendant que le parrain ne peut rien faire, deux de ses fils Michael (Al Pacino) et Sonny prennent en contrôle l’entreprise familiale même si Michael ne voulait pas trop être impliqué dans celle-ci au tout début. Plusieurs évènements surviendront alors que toutes les 5 familles mafieuses de New York seront en guerre.

Appréciation :Même si ce genre de film n’est pas du tout dans ma palette,  j’ai tout simplement adoré le parrain. Même si le film peut paraitre long à la base, il est bien construit et même qu’à la fin on en demande plus encore. Deux grands acteurs se croisent dans ce film, Marlon Brando et Al Pacino, et ils sont tout simplement sensationnels. La musique très reconnaissable du parrain est vraiment belle et juste dans le contexte du film.  Je recommande à tous ceux qui n’ont pas vu ce classique du cinéma de voir ce film grandiose.

Théorie :

Continuité dans la direction (56 min 27 sec) : Quand on suit une automobile noire jusque dans un champ avec des employés de Don Vito qui tuent un autre homme.

Ellipse (82 min 43 sec) Suite à ce qu’on apprenne que le jeune Michael Corleone se cache en Sicile suite à son meurtre, on le voit la scène suivante en Sicile.

Surimpression (89 min 32 sec) : Des journaux apparaissent et on voit en avant ou en arrière-plan les amis du parrain avec des fois un homme qui joue du piano.

Scène Alternée (16 min 33 sec) : Pendant le mariage, la femme de Don Vito chante pendant que Sonny, son fils, amène une fille dans un chambre.

Erreurs dans la continuité : Lorsque Sonny vient d’apprendre que sa sœur est battue pas son mari Carlos il va lui donner une raclée mais on voit clairement que Carlos ne reçoit pas de coup même si les sons et les mouvements peuvent nous tromper.

Split screen : il n’y en a pas

Règle des tiers (148 min 25 secondes) : Lorsque Vito et Michael discute ensemble dans l’arrière-cour et c’est à ce moment que l’on voit un peu comme la succession du Parrain.

Entrés et sorties de champ (21 min 20 secondes) lors du mariage de la fille du parrain on voit plusieurs entré et soties puisqu’il y a plusieurs figurants

Champ Contre-champ (12 min 55 sec) : Pendant le mariage de sa fille, Don Vito est dans son bureau et parle avec Tom Higgins.

Le hors champ (42 min 54 sec) : alors qu’il allume la cigarette de Luca Brasi, l’homme regarde vers un homme qui se trouve derrière Luca avec un air diabolique.

La profondeur de champ (75 min 50 sec) Lorsque Michael se pratique à tirer, on voit très bien le portrait d’un homme du clergé et on voit aussi très bien Michael en avant plan.

Plan séquence : (premier plan) un homme raconte l’histoire de sa fille qui s’est fait attaquer et demande justice au parrain.

Plan de Grand ensemble (26 min 40 sec) : On surplombe la ville de Californie où se trouvent Tom Higgins pour aller parler au patron de Johnny Fontain.

Plan d’ensemble (27 min 17 sec) Dans les studios de télévisions ou de cinéma alors que Tom Higgins marche pour aller voir le patron de Johnny Fontain.

Plan moyen (105 min 16 sec) Alors que Michael Corleone marche avec sa nouvelle conquête en Sicile.

Plan américain (38 min 24 sec) : Lorsque que le parrain refuse d’entrée dans le commerce de la drogue et qu’il serre ensuite la main de son invité.

Plan rapproché taille (134 min 11 sec) : lorsque que Michael revient de Sicile et revoit Kay et ils marchent ensemble dans la rue.

Plan rapproché épaule (51 sec) au tout début lorsque l’homme raconte l’histoire de sa fille et qu’il y a en même temps un zoom arrière.

Gros plan : au tout début on a un gros plan sur un homme dans le bureau du parrain.

Très gros plan (75 min 16 sec) : il y a un très gros plan sur un petit fusil qui sera important dans les scènes à venir.

Plan Subjectif (82 min 39 sec) : Lorsque Michael est dans l’auto avec le policier, on voit tout d’un coup du point de vue de Michael les pancartes qui avancent devant nous.

Vue en plongée (145 min 02 sec) Lorsque Michael réplique tranquillement à son frère Fredo

Vue en contre Plongée (144 min 59 sec) lorsque Fredo crie après Michael dans l’hôtel.

Overhead Shot (41 min 50 sec) Lorsque le Parrain se fait tiré près de son automobile.

Panoramique Horizontal (25 min 41 sec) Pendant le mariage quand Michael va chercher sa copine pour mettre dans la photo de famille.

Panoramique vertical (41 min 15 sec) On suit avec un mouvement panoramique Luca Bratsi qui monte les escaliers.

Travelling arrière (80 min 03 sec) : Michael parle à Sonny en avançant vers la caméra qui recule

Travelling avant (118 min 50 sec) Le parrain Don Vito Corleone et son bras droit Tom Higgins sont en discussion.

Travelling latéral (28 min 08 sec) lorsque tom Higgins demande a Waltz la faveur de faire jouer Johnny Fontain

Travelling circulaire : il n’y en a pas

Zoom avant (73 min 35 sec) Michael parle d’un meeting qu’il va avoir. Il est assis dans un sofa et on le voit de plus en plus proche.

Zoom arrière (première séquence) lorsque l’homme parle de l’histoire de sa fille on le voit de plus en plus loin.

Caméra à l’épaule (139 min sec 05) lorsque l’on voit plusieurs panneau de spectacle ou d’endroit Las Vegas.

 

 

 

dimanche 16 septembre 2012

Citizen Kane


Titre : Citizen Kane                       

Réalisateur: Orson Welles

Année de sortie : 1941


Résumé: Le film commence avec la mort du richissime Charles Foster Kane. Les journalistes cherchent alors à faire leur bulletin de nouvelles le plus attrayant possible puisqu’il est ici question de la mort d’un des hommes les plus influent de 20 ième siècle. Une bande de journalistes veulent trouver la signification de ses dernières paroles qui sont encore dénuées de sens pour tous les citoyens. Ses derniers mots étaient : bouton de rose. Le journaliste Thompson sera donc dans une quête pour trouver la signification de ses mots. Il ira donc rencontrer les plus proches amis de monsieur Kane pour avoir leur propre version de la vie du milliardaire et en même temps savoir si ceux-ci ont connaissance de la signification du fameux bouton de rose.


Appréciation : J’ai vraiment été surprise par le film Citizen Kane. Je m’attendais à un film plutôt vieux jeux qui n’était pas vraiment intéressant et excitant. Finalement, j’ai trouvé le film bien fait pour le temps, bien rythmé et l’intrigue nous tient en haleine jusqu’à la fin du film. Le revisionnement à été d’autant plus surprenant avec les 1001 indices que le réalisateur laisse à la portée du spectateur. Bref un film qui mérite bien sa cote de chef d’œuvre.


Contenu :


Split screen : (82 min 55 sec) Lorsque M. Kane vient de renvoyer Jed Leland l’écran se sépare d’une drôle de manière en laissant errer le passé tout en nous ramenant au présent.


Règle des tiers : (49 min 33 sec) Tout au long de l’entrevue de monsieur Leland avec le journaliste Thompson, M. Leland est placé selon la règle des tiers.


Entrée et sortie de champ : (35 min 04 sec) 18 entrées et sortie de champ lorsque monsieur Kane parle avec monsieur carter alors que d’autres hommes les coupent en déménageant la chambre de monsieur Kane dans l’ancien bureau de monsieur Carter.


Champ-Contre champ : (97 min 09 sec) Lorsque Susan Alexander est malade et demande à Charles d’arrêter les spectacles d’opéra.


Hors champ : (13 min 25 sec) le réalisateur du premier reportage sur Kane parle à un journaliste qui se trouve derrière le cadre et celui-ci répond.


Profondeur de champ : (95 min 25 sec) les profondeurs de champ ne sont pas ce qu’il manque dans ce film d’Orson Welles. Lorsque Susan tombe malade d’épuisement on voit très bien lors de l’entrée de monsieur Kane le verre avec la cuillère en premier plan, Susan au deuxième plan et monsieur Kane qui entre au troisième plan. Rien n’est flou.


Plan séquence : (19 min 07 sec) le meilleur plan séquence du film est à mon avis lorsque madame Kane signe les papiers pour envoyer son fils avec monsieur Thatcher le banquier lorsque le jeune Kane joue dehors.


Le plan grand ensemble : (9 min 39 sec) on voit alors le Xenedu surplombant une forêt de très loin.


Le plan d’ensemble : (61 min 05 sec) Lorsque Kane est en train de faire son discours pour les élections et qu’on le voit avec son audience.


Le plan moyen : (48 min 57 sec) Lorsque monsieur Thompson parle debout avec monsieur Bernstein avant de partir voir Jed Leland.


Le plan américain : (34 min 00 sec) Lorsque Kane et Jed entre pour la première fois dans l’Inquirer et ils parlent avec monsieur Carter.


Le plan rapprocher taille : (66 min 25 sec) Lorsque Jim Getty parle à miss Émilie Kane de l’affaire de Susan Alexander et de monsieur Kane alors qu’ils sont tous deux en arrière plan.


Le plan rapprocher épaule : (36 min 53 sec) Lorsque monsieur Kane est assis dans son nouveau bureau à l’Inquirer.


Le gros plan : (76 min 07 sec) Susan Alexander juste avant sa première représentation à l’opéra. Elle se pratique à chanter.


Le très gros plan : (2 min 31 sec) lorsque l’on voit la bouche de monsieur Kane qui dit ses dernières paroles.


Le plan subjectif : (12 min 01) vers la fin de la vie de monsieur Kane dans le reportage un journaliste l’espionne alors qu’il est dans sa chaise roulante à travers la clôture.


Vue en plongée : (94 min 32 sec) On film Susan Alexander qui se réprimander par son mari lorsqu’elle veut cesser les spectacles.


Vue en contre plongée : (3 min 29 sec) On voit le Xenedu sous plusieurs angles mais toujours en contre plongée pour mettre l’accent sur la grandeur du palais.


Overhead Shot : (69 min 30 sec) Lorsque Jim Getty s’en va de chez Susan Alexander pendant que Kane le suit en lui criant des bêtises.


Panoramique Horizontal : (98 min 41 sec) Lorsque Susan Alexander fait des casse-têtes hors champ alors que l’on suit Charles Foster Kane qui répond à ses questions.


Panoramique vertical : (32 min 57 sec) On commence par voir le haut d’une bâtisse pour ensuite voir l’enseigne de l’Inquirer.


Travelling avant : (14 min 35 sec) On se retrouve sur le toit du El Rancho et on avance sur ce toit jusqu’à une fenêtre ou se trouve Susan Alexander


Travelling Arrière : (24 min 12 sec) Des hommes lisent le journal l’Inquirer assis à des tables en fumant. Le plan se termine sur le banquier Thatcher qui est fâché contre monsieur Kane.


Travelling vertical : (14 min 25 sec) on montre en premier lieu un photo de Susan Alexander et on monte en haut d’un édifice qui se nomme le El Rancho.


Travelling latéral : il n’y en a pas



Travelling circulaire : il n’y en a pas


Zoom avant : (10 min 32 sec) lorsqu’on voit les entreprises Kane fermer on voit un beau zoom sur le signe close.


Zoom arrière : (2 min 25 sec) lorsque l’on voit la boule de vitre avec la petite maison à l’intérieur que tient Charles Foster Kane sur son lit de mort, on voit en premier seulement la petite maison et ensuite on voit on voit la boule de vitre au grand complet.


Caméra à l’épaule : (12 min) lors du reportage il y a un certain journaliste qui filmait en cachette le milliardaire et c’est à ce moment une caméra à l’épaule qui est utilisée puisque l’on veut représenter un journaliste.
P.S les images n'ont pas de rapport avec les effets mentionnés